La guerre imprègne tous les aspects de la société orque. Lorsqu'ils ne partent pas en expédition contre leurs ennemis (souvent une tribu orque voisine) les orques passent leur temps à s'entraîner au combat, à forger ou réparer des armes et des machines de guerre, et à ronger leur frein en attendant la prochaine bataille.
Les tribus orques s'établissent souvent dans des grottes naturelles, faciles à défendre "et qui ne réclament que peu d'efforts en matière de fortifications. Elles s'installent aussi volontiers dans des forteresses en ruine ou dans des complexes souterrains. Les tribus qui n'ont pas trouvé de cavernes ni réussi à s'emparer d'un château-fort ou d'un donjon dressent à la place de petits villages semi-temporaires, faits de tentes et autres huttes de fortune distribuées selon un motif circulaire, défendus par une douve ou une palissade. Ces villages sont généralement construits au sommet d'une éminence, au bord d'une falaise ou encore sur la rive d'un lac ou d'une rivière, afin de tirer le meilleur parti des obstacles naturels.
Les orques vivent selon' un ordre social farouchement patriarcal. Chez eux, aucune femelle n'a jamais atteint un poste de pouvoir séculier.. La plupart d'entre eux ont plusieurs épouses, qu'ils traitent à peine mieux que des prises de guerre ou des esclaves. Leurs fils sont formés au combat dès qu'ils sont en âge de tenir une arme, et les querelles fraternelles sont vivement encouragées. Un père orque ne témoigne aucun intérêt pour un rejeton incapable de se défendre contre ses frères, et les enfants chétifs ou difformes ne font pas de vieux os.
Les femelles orques n'ont pas grand-chose à attendre de l'existence. Il arrive parfois que l'une d'entre elles, particulièrement coriace, s'impose au sein des guerriers et se batte en égale à leur, côté, mais la plupart sont reléguées aux rangs de servantes et de mères. Elles n'ont pourtant rien à envier à leurs congénères masculins en termes de force physique et de compétence ; mais la société des orques est trop étroite d'esprit pour le reconnaître. Le seul domaine dans lequel une orque puisse espérer exceller est celui de la magie, et en particulier de la magie divine. Grâce à leurs pouvoirs magiques, les adeptes, prêtresses et druidesses orques forcent le respect des mâles de leur communauté et gagnent une relative autonomie.
L'esclavage est une chose courante chez les orques. Leurs esclaves sont surtout des kobolds ou des gobelins, mais bon nombre sont également des membres de tribus ennemies ou d'autres sous-espèces. Ils ont également des esclaves humains, gnomes, nains et halfelins, mais ils les traitent avec une telle brutalité que les malheureux ne survivent pas longtemps. Ils ont très peu d'esclaves elfiques, car la plupart des orques préfèrent tuer et dévorer tous les elfes sur lesquels ils ont l'occasion de mettre la main.
Sources: http://www.gemmaline.com/races/type-orques.htm
imgres
Les tribus orques s'établissent souvent dans des grottes naturelles, faciles à défendre "et qui ne réclament que peu d'efforts en matière de fortifications. Elles s'installent aussi volontiers dans des forteresses en ruine ou dans des complexes souterrains. Les tribus qui n'ont pas trouvé de cavernes ni réussi à s'emparer d'un château-fort ou d'un donjon dressent à la place de petits villages semi-temporaires, faits de tentes et autres huttes de fortune distribuées selon un motif circulaire, défendus par une douve ou une palissade. Ces villages sont généralement construits au sommet d'une éminence, au bord d'une falaise ou encore sur la rive d'un lac ou d'une rivière, afin de tirer le meilleur parti des obstacles naturels.
Les orques vivent selon' un ordre social farouchement patriarcal. Chez eux, aucune femelle n'a jamais atteint un poste de pouvoir séculier.. La plupart d'entre eux ont plusieurs épouses, qu'ils traitent à peine mieux que des prises de guerre ou des esclaves. Leurs fils sont formés au combat dès qu'ils sont en âge de tenir une arme, et les querelles fraternelles sont vivement encouragées. Un père orque ne témoigne aucun intérêt pour un rejeton incapable de se défendre contre ses frères, et les enfants chétifs ou difformes ne font pas de vieux os.
Les femelles orques n'ont pas grand-chose à attendre de l'existence. Il arrive parfois que l'une d'entre elles, particulièrement coriace, s'impose au sein des guerriers et se batte en égale à leur, côté, mais la plupart sont reléguées aux rangs de servantes et de mères. Elles n'ont pourtant rien à envier à leurs congénères masculins en termes de force physique et de compétence ; mais la société des orques est trop étroite d'esprit pour le reconnaître. Le seul domaine dans lequel une orque puisse espérer exceller est celui de la magie, et en particulier de la magie divine. Grâce à leurs pouvoirs magiques, les adeptes, prêtresses et druidesses orques forcent le respect des mâles de leur communauté et gagnent une relative autonomie.
L'esclavage est une chose courante chez les orques. Leurs esclaves sont surtout des kobolds ou des gobelins, mais bon nombre sont également des membres de tribus ennemies ou d'autres sous-espèces. Ils ont également des esclaves humains, gnomes, nains et halfelins, mais ils les traitent avec une telle brutalité que les malheureux ne survivent pas longtemps. Ils ont très peu d'esclaves elfiques, car la plupart des orques préfèrent tuer et dévorer tous les elfes sur lesquels ils ont l'occasion de mettre la main.
Sources: http://www.gemmaline.com/races/type-orques.htm
imgres